"The discovery travel doesn´t consist in looking for new landscapes but to see things differently - Le voyage de la decouverte ne consiste pas à chercher de nouveaux paysages mais à voir les choses différement" - Marcel Proust

La Paz y sus 3600 metros


Francais:

Le lendemain départ pour La Paz, capital du pays, 800 000 habitants, 3600 mètres d’altitude…
El dia siguiente salimos para la Paz, capital del pais, 800 000 habitantes y 3600 metros de altura…
La Paz est une ville à 45º. Toute les rues son en pente et le festival qui continu de sévir ici n’enlève rien à son côté de ville folle, au contraire. Cette ville fourmille de partout et me rappel les villes d’Asie. Nous ne manquons pas nous refaire arroser, surtout Rachel d’ailleurs…

Une bonne journée à déambuler dans les rues entre les bombes à eaux, pratiquant l’activité préférer de Rachel, les marchés artisanaux. Le soir nous nous offrons un des meilluers resto de la ville. Il se trouve en haut d'un hotel avec vue sur toute la ville. Imaginez nous en routard la dedant, ca fesait un peu tache...Serveur en costar et nape en tissu, il nous sortent le grand jeux et nous, nous nous en sortirons pour moins de 20 euros pour les deux... vive la bolivie! Demain nous partons pour Copacabana et le lac Titicaca.


Español:

La Paz es una ciudad a 45º. Todas las calles tienen una denivelacion impresionante y el festival que sigue actuando como siempre, no quita nada a esa loqura. Esa ciudad es como una casa de ormigas y parece como la ciudades de asia. Como es Oruro, no paramos de ser mojado , especialemente rachel…

Pasamos el dia a caminar por las calles entre los globos de agua, asiendo la actividad favorita de rachel, es decir visitar los mercados artisanales. Por la noche, cenamos en unos de los restaurante mas piro de la ciudad con una vista sobre toda la ciudad encima de un hostel super caro. Imaginate los dos viagelos que debarquan dentro... Camalero en trage, mesa super puesta con tres tenedores y cutchillos... Comemos muy bien con un vino de aqui y la cuenta? 19 euro por los dos... Viva bolivia! Mañaña salimos por Copacabana y el lago Titicaca.

Carnaval !!!


Francais:

Nous prenons un train direction la ville d’Oruro pour le Carnaval ! A les entendre dire, c’est le plus grand après les carnavals Brésiliens. On arrive tôt le lendemain après ne pas avoir beaucoup dormi. Nous trouvons vite une chambre chez l’habitant. Il y a même un chien, un chat et un canard. Une grand-mère qui me fait peur et qui passe son temps au toilette la porte ouvert… folklorique total !

Une petite sieste et nous voilà prêt pour affronter le Carnaval ou du moins le pré-carnaval. On est vite fixés, nous n’avons pas fait plus de cent mètres que je me prends une giclé de mousse à rasé dans la figure. Les bombes à eaux commences à fuser il est temps de s’équiper ! Bombes á eaux, pistolets ou encore sprays de mousses, c’est parti !

Nous sommes toujours avec nos deux compères français et je dois dire que nous formons une solide équipe. Nous nous dispersons un peu dans les rues pour tromper notre ennemi et dés qu’un de nous est touché les 3 autres lui sautent dessus sans hésitations. Nous prenons tellement confiance en nous et rigolons tellement que nous arrivons petit à petit sur la place centrale, armé jusqu’aux dents est malgré tout pas encore trop mouillé. Dés les premiers pas et les échauffourées commencent. Ca fuse et ça trouve cible. Petit à petit sans se rendre compte l’adversaire gonfle ses rangs. Nous restons plus ou moins grouper lorsque le cri fatal et décisif est lancé à la clameur générale : A los gringos ! Nous courons dans tous les sens comme une poule que l’on a décapitée. On se sépare et je trouve comme un lâche refuge à côté d’un policier en faction qui riait un peu jaune…

La bataille ne dura guère et notre repli fut la tête mouillé mais haute pour avoir fait fasse à plus de 50 acharners comme si toute l’honneur de la colonisation avait été mis en compte.

Malheureusement pour eux, nous n’étions ni américains ni espagnoles mais de simple gamins en manque de défoulement.

Ce n’est que le lendemain que les hostilités on commencé, les vrais, car les batailles d’eau n’avaient pas cessé. Ils devaient bien y avoir un millions de personnes dans les rues à l’affut des danseurs et danseuses dans leurs plus beaux costumes. Entre les gratins, c’était la guerre de l’eau dans une ambiance très bonne enfant. Les défilés on duré jusqu'à 2heures du matin. Je vous laisse imaginé la dégaine des musiciens et danseurs après 12 heures de défilés « obligés » de boire bières sur bières pour supporter la chaleur…

Les danseuses dandinaient, les trompettistes ne trompaient plus personnes et les spectateurs tapaient plus sur leurs voisins que dans leurs mains. Bref un vrai carnageval.
Préférant la beauté et la joie du Carnaval à la décadence humaine du Carnageval, nous sommes allée nous couché avec quand même de superbes images dans la tête.



Español:

Por la noche cogemos un tren con destino Oruro y su famoso carnaval ! Segun ellos es el segundo carnaval mas famoso de Sur America despues de el de Brasil! Llegamos temprano por la mañana siguiente despues de una noche dificil. Encontramos rapidamente una habitacion en la casa de un a familia de autoctonos. No se cuantos viven alli pero hay tambien un pato, un gato, un perro y sus perritos y una abuela que me da miedo y que passa su vida al baño con la puerta abierta….todo un folklore !

Una pequeña siesta y estamos listos para el Carnaval, a lo menos el pre carnaval. Las cosas se aclaran rapidamente. No hacemos mas de 100 metros que me tomo espuma en plena cara. Los globos (bombas de agua) viene de todos los lados….ya es tiempo de defenderse ! Globos, espuma y waterguns….ahora hablamos !!!

Estamos todavia con nuestros dos compañeros franceses y tenemos que decir lo formamos un buen equipo. Nos dispercemos un poco en las calles para engañar a nuestros enemigos y cuando uno de nosotros esta tocado, los 3 otros saltan encima del enemigo para vengarle sin ninguna hesitacion. Estamos tan confiantes en nosotros y reimos tanto que poco a poco llegamos a la placa principal, armados hasta los dientes y todavia no demasido mojados. Desde el primer paso en la placa la guerra empieza. Hay un monton de globos que vuelan por todos los lados y ciblas tocadas. Pocoa poco el equipo del adversario esta creciendo. Quedamos mas o menos juntos cuando se puede oir el grito fatal : « A los gringos ! ». Corremos por todos los lados como una gallina a la qual hemos cortado la cabeza. Nos separemos y encuentro un refugio como un jilipollas a lado de un policia que riaba a media…

La batalla no tardara mucho y volvimos a casa la cara mojada pero bien alta de haber combatido 50 locos como si el honor de la colonizacion hubiera sido en cuenta.

Desgracamente para ellos, no estavamos ni americanos ni españoles pero simplemente niños en mal de jilipollesas.

Fue solo el dia siguiente que las hostilidades empesaron, las verdaderas, porque las guerillas de agua, ellas no pararan. Tendrian que haber como un million de personas en las calles esperando las bailarines y los bailadores en sus trares mas bonitos. Entre los asientos de cada lados estaba la guerra del agua con muy buena onda. Los desfilados tardaran hasta las 2 de la mañaña. Te dejo imaginar las caras de los musicos et los bailadores despues de 12 horas de show « obligados » a vever cerveza sobre cervezas para suportar el calor infernal…