"The discovery travel doesn´t consist in looking for new landscapes but to see things differently - Le voyage de la decouverte ne consiste pas à chercher de nouveaux paysages mais à voir les choses différement" - Marcel Proust

Bye bye Nepal, Namaste India ¡

Français :
Depart tot le matin, nous prenons un bus qui nous depose au bord de la riviere. Apres avoir prepare tout le materiel, nous enfourchons nos gilets de sauvetage, nos casques et c’est parti! Durant plus de 4 heures nous descendons les rapides sous un soleil de plomb. Le paysage est superbe et cela fait du bien de quitter la civilisation pour un retour a la nature. De temps a autre nous profitons de l’accalmie des flots pour piquer une tete et nous laissons glisser au rythme de l’eau evitant tant que possible les rochers qui nous barrent la route. Le soir, apres une bonne journee sportive, nous montons la tente au bord de l’eau et profitons d’un ciel superbement dechaine de mille eclairs. Apres avoir mis les bonnes vielles patates sur les piquets de la tente, nous tombons dans un sommeil de plomb.

Reveilles de bonne heure, nous repartons pour une descente un peu plus sportive que la veille. Le canot plonge dans les vagues et nous croyons a chaque instant qu’il va chavirer. Mais nous tenons bon et 2 heures plus tard nous arrivons a destination ravis de nos deux jours d’aventure.

Le prochain stop est le parc national de Chitwan pres de la frontiere Indienne. Dans le bus nous faisons la rencontre de Martin un ancien hippie Danois reconverti dans l’import export. Il avait une guest house il y a quelques annees dans le coin et decidons de le suivre. Grace a lui nous evitons les rabateurs surexites a l’arrivee du bus. Il nous raconte que cet endroit est le pire pour les touristes. A l’epoque certains arrivaient a sa guest house en pleurant tellement les rabateurs etaient insistants. Il faut dire que les maoistes n’ont pas aide au developpement du tourisme au Nepal et le touriste dans des endroits comme celui la est harcele comme jamais. Martin est charmant et nous passons un tres bon moment avec lui. Il nous fait visiter les abords du parc et le lendemain matin nous prenons un bain dans la riviere avec les elephants. Ils prennent l’eau dans leurs trompes et nous envoient la sauce des que nous prononcons le mot magique!

Mais le sejour au Nepal se termine déjà est nous prenons un bus vers la frontiere. Au poste frontiere une agence nous propose un bus express pour Benares. Nous payons et traversons la frontiere qui ressemble plus a un gros Bazard qu’autre chose. Bienvenue en Inde ! Ici normalement un bus nous attend mais comme vous vous l’imaginez, rien ne se passe jamais comme on vous la vendu. Là un mec nous annonce que le ticket achete au Nepal n’est pas valide pour un express mais pour un trajet de 24 heures ou il faut changer de bus trois fois. Nous sommes furieux apres avoir compris l’arnaque. Le mec nous propose bien sur un bus direct pour un prix deux fois plus cher. Je lui sors tout les noms d’oiseaux dans mon plus beau latin, mais cela n’y changera rien. Ici nous rencontrons Linzi une anglaise qui c’est fait rouler de la même manière avec son billet de train. Elle on lui propose un prix 10 fois plus cher ! Les enfoires!
Bref on paye le double car la frontiere est le pire endroit du monde pour passer la nuit et jurrons de lui faire payer au prochain passage… dans 10 ans peut etre…
Le trajet est dans le pire bus du pays et au dernier rang. La pire place. La on s’eclate la tete sur le plafond a chaque ralentisseur. La nuit n’est donc pas tres bonne et les moustiques se regalent des trois touristes a l’arriere.
Nous arrivons quand même a benares vers 7 heures du mat. Les yeux a peine ouverts nous choppons un touc touc et tracons vers un hotel ou nous nous ecroulons sur nos lits jusqu'à midi.

Benares est la ville la plus sacree d’Inde. Des dizaines de milliers de pelerins viennent chaque annee mourir sur les bords du gange, le fleuve sacre. Le matin les crematoriums tournent à plein regime envoyant les defuns vers leur derniere destination. Cela donne a cette ville son caractere bien special. Les rues minuscules forment un labyrinthe sans fin ou nous nous perdons a chaque croisement avec bonne humeur. Les temperatures depassent tranquillement les 40º et nous poussent a ecourter notre sejour et rever de retourner dans l’himalaya. Nous faisons les boutiques de tailleurs pour essayer d’en trouver un capable de nous faire une tenue pour les mariages prevus cette annee mais en vain. Nous attendrons d’etre a delhi.

Donc, depart pour delhi et retour chez notre dereck national. Une nuit en train et le tour est joue. Nous arrivons chez dereck et le retrouvons au même endroit comme si rien n’avait change. Nous passons du bon temps comme d’hab est trouvons a delhi un tailleur digne de ce nom pour me faire un costar pour le mariage du cousin. Apres il y a eu la mission trouver un billet de bus pour le nord. Apres avoir fait trois fois le tour de la ville, nous trouvons enfin un lieu qui vend des billets. La un rabatteur nous saute dessus comme d’hab. Nous sortons du touc touc et la c’est un flic qui nous fait signe de le suivre. Arrives a sa hauteur il questionne le rabatteur et l’embarque pour rabattage. Nous ne comprenons pas grand-chose. Le flic est en sur excès de zele et nous demande de faire une declaration ecrite sur le comportement du rabatteur. Decidement on a pas de chance, le flic est collant au possible et nous empeche de rentrer dans la boutique de bus. Il veut absolument que nous utilisions les bus gouvernementaux et nous arrete même un touc touc pour nous emener a la station… Il l’agresse quand le chauffeur lui sort le prix de la course et l’oblige a nous faire payer deux fois moins cher. Le mec tire la gueule mais finit par nous emmener a la station. La nous arriverons apres plus de deux heures de recherche a trouver un bus pour Daramsala dans le nord.

Daramsala pour ceux qui ne connaissent pas est la residence du Dalaï lama en exil et est donc une ville plus tibétaine qu’Indienne. Nous arrivons apres le foutoire de delhi dans un village perche a 2000 metres d’atitude sur un crete devant les chaines des himalaya. C’est un havre de paix ici. Les rues regorgent de moines et malgre l’invasion du tibet par la Chine il regne ici un climat de paix qui nous fait un bien fou. Beaucoup d’associations se battent et militent jours est nuits pour le retour de la liberte au tibet. Nous esperons comme eux que les jo 2008 amenerons le monde a realiser l’injustice qu’il regne depuis plus de 50 ans sur le toit du monde.
Ici je trouve un prof de reiki qui me permet de passer le second niveau. Je suis ravi et espere avoir le temps de passer le master avant de rentrer. Nous rentrons lundi pour que rachel prenne son avion de retour. La fin est proche pour elle mais nous vous ecrirons une derniere fois avant son depart.

On vous embrasse bien fort et vous passons le bonjour du Dalaï lama… ;-)


Español :
Salida temprano por la mañana, cogemos un autobus que nos lleva al lado del rio. Despues de haber preparado toto el material, nos ponemos los chalequos de salvavida, los cascos y…vamos! Durante 4 horas descendremos los rapidez debajo de un sol de plomo. El paisaje es magnifico y nos da placer salir de la civilisacion por una vuelta a la naturaleza. A veces, disfrutamos de la calma del rio para nadar y dejarnos flotear al ritmo del agua intentando evitar las rocas que están en el camino. Por la tarde, después de un dia deportivo, instalamos la carpa al borde del rio y aprovechamos de un cielo con miles de rayos. Despues de haber puestas las bien conocidas patatas sobre los palos de las carpas, caemos en un sueño de plomo.

Despertados temprano, nos ponemos en marcha por una parte un pocito mas excitante que lo de ayer. El rafting salta con las olas y creemos a cada miuto que se va caer y nosotros también. Pero aguantamos y 2 horas mas tarde llegamos al final de la ruta, encantados con esa aventura.

La próxima parada es el parque nacional de Chitwan cerca de la frontera con la India. En el autobús, encontramos a Martin, un antiguo hippie de Dinamarca reconvertido en el import export. Tenía un guest house aquí hace algunos años asi que decidimos seguirle. Gracias a el evitaremos los chicos que intentan llevarte a su guest house y fue una suerte porque aquí están super insistentes. Martin nos ha explicado que, cuando el tenia su guest house, los clientes llegaban llorando tan esos tios son pesados. Hay que decir que los maoístas no han ayudado al desarrollo del turismo en Nepal. Asi que en un lugar como este, es insoportable por el turista. Martin es muy simpatico y pasaremos un momento agradable con el. Nos enseña los alrededores del parque y el dia siguiente tomaremos un baño en el rio con los elefantes. Cogen el agua en su nariz (trompa) y te la tiran encima cuando dices la palabra mágica!

Pero el viaje en Nepal se acaba y tomamos un bus temprano por la frontera. Alli, una agencia nos propone un billete de bus express para ir hasta Vanarasi. Pagamos y cruzamos la frontera que se parece mas a un bazar enorme que a otra cosa.

Bienvenidos en la India! Aquí normalmente el autobús nos esta esperando pero, como se puede imaginar, nada se pasa nunca como debería. Alli, un tio nos dice que el billete que tenemos es para un bus non express. Hay que cambiar 3 veces y llega a Vanarasi después de 24 horas. Estamos de muy mala leche después de haber realizado que ya nos han engañado. El chico, por supuesto, tiene la solución, y nos propone un billete directo pero por el doble del precio. Lo insulto con todos los nombre de pajaros que conozco y todo eso con mi mejor latin, pero de toda manera, no puedes hacer nada. Al mismo tiempo, encontramos a Linzi, una chica inglesa. A ella también le hicieron lo msmo pero con un billete de tren y el precio no era el doble pero 10 veces mas! Los cabrones!

Bueno, al final pagaremos el doble porque la frontera el peor sitio del mundo para pasar la noche. Pero nos prometimos de volver y hacerle pagar…en 10 anos quizás.
El trayecto se hace con el peor bus del pays y por supuesto en la ultima linea de sillas, la peor. Nos aplastamos la cabeza en el techo a cada movimiento del bus. La noche no fue buena y los mosquitos se regalaron de los tres turistas del fondo.

Llegaremos a Vanarasi a las 7 de la mañana. Los ojos apenas abiertos cogemos un tuk tuk y vamos deprisa hasta un hotel donde nos dejamos caer en la cama para dormir hasta las 12h.

Vanarasi es la cuidad la mas sagrada de India. Miles de personas vienen aquí cada año para morir en el borde del Ganga, el rio sagrado. Por la mañana, los crematorios funcionan a toda velocidad, mandando los muertos hasta su ultima destinación. Eso da a la cuidad su carácter bien especial. Las calles son minúsculas y forman un labirinto sin fin donde nos perdemos con buen humor. Las temperaturas llegando hasta mas de 40 grados nos obligan a acortar nuestro tiempo aquí y nos hacen soñar a volver a las Himalayas. Nos pondremos en búsqueda de un “tailor” para hacer nos vestidos para las bodas previstas este año pero sin suceso. Esperaremos de estar en Delhi.

Entonces, de vuelta a Delhi y a nuestro Derek nacional. Una noche de tren y hecho. Llegamos a la casa de Dereck y lo encontramos l mismo sitio, parece que nada ha cambiado. Pasaremos un buen momento como cada vez y encontraremos un “tailor” en Delhi para hacer el traje de Thomas. Despues de eso, la misión es de encontrar un lugar para comprar billetes de autobús por Dharamsala, al norte. Despues de haber hecho 3 veces la vuelta de la cuidad, encontramos por fin un lugar. Pero, un chico viene a ver nos para enseñarnos su tienda de billetes. Salimos del tuk tuk, y aquí es un policía que nos dice de seguirlo. Cuando llegamos a su altura, le pregunta al tio y lo embarcan por fraude. No entendemos todo. El policía hace un exeso de buena voluntad y nos pregunta de hacer una declaración escrita sobre la situación.

Desgraciadamente, no tenemos suerte, el policía es un pesado y no nos deja entrar en la tienda de autobuses. Quiere absolutamente que tomamos un bus del estado y va hasta ponernos en un tuk tuk para llevarnos hasta la estación. Insulta el conductor del tuk tuk cuando le dice el precio y le impone un precio dos veces mas barato. El tio se pone mala cara pero al final nos lleva hasta la estación. Aquí, después de casi 2 horas de búsqueda, encontramos finalmente un bus para Dharamsala, en el norte.
Daramsala para ellos que nos conocen, es la residencia del Dalaï Lama en exilio y entonces una ciudad mas tibetana que india. Llegamos después del caos de Delhi en un pueblo a 2000 metros de altitud sobre un montaña delante de la cadena de los Himalayas. Es un lugar de pace aquí. Las calles son llenas de monjes y aunque china invadió tibet aquí es pace y nos hace un bien enorme. Muchas asociaciones que luchan días y noches para el retorno de la libertad en tibet. Esperamos como ellos que los juegos olímpicos permitirán al mundo de realizar la injusticia que los tibetanos viven desde mas de 50 años en el techo del mundo.

Aqui encuentro un profe de reiki que me permite pasar el segundo nivel. Soy super contento y espero tener el tiempo para pasar el master antes de volver a casa. Volvemos a Delhi lunes para que rachel pudiera tomar su avión de vuelta. El fin del viaje se acerca para ella pero volveremos a escribir antes que se vaya.

Os mandamos un abrazo fuerte a todos y un saludo de parte de Dalaï lama…;-)

Himalaya mi amor ...

Frances:

Les 6 heures qui séparent Pokara de Katmandu passent plus que rapidement en comparaison avec les 24 heures de l’autre jour. Pokara, deuxième ville du pays est toute tranquille. Petite ville au bord d’un lac, entourée de montagnes en plein cœur de l’Himalaya. Nous retentons l’expérience moto et en louons une pour deux jours. Les Népalais sont un peu plus zens et de toute manière nous fuyons les grands axes. Nous partons sur les crêtes aux alentours pour admirer les sommets des Annapurnas qui culminent à plus de 8000 mètres ! La vue est impressionnante et à couper le souffle. Après avoir longtemps pesé le pour et le contre, nous ne ferons pas de trek. Prochain voyage peut être … Celui ci touche bientôt à sa fin et nous devons faire des choix difficiles. Nous restons 4 jours ici et décidons de rejoindre le sud du Népal et petit à petit la frontière Indienne vers Benares. L’option choisie cette fois ci, est le rafting. Nous sommes au pied de l’Himalaya et une agence nous propose de rejoindre le sud en deux jours par les eaux ! Nikel on est super chauds ! On part après demain, aventure à suivre...

Espanol:

Las 6 horas que separan Pokara de Katmandú pasan mas rapidamente en comparason con las 24 horas del otro dia. Pokara segunda ciudad del país es una ciudad muy tranquila. Pequinita ciudad al borde de un lago con las montañas del Himalaya alrededor. Intentamos otra vez la experiencia moto y alquilamos una por dos días. Los Nepalís son un poco mas zen que los indios y de toda manera huimos las grandes carreteras. Nos vamos en las cumbres alrededor par admirar las cumbres de los Annapurnas que culminan a mas de 8000 metros! La vista es impresionante y nos corta la respiración. Después de haberlo pensado mucho, hemos decidido de no hacer un treking. El próximo viaje puede ser… Este llega pronto al final y tenemos que hacer elecciones difíciles. Nos quedamos 4 dias aquí y decidimos de ir al sur de Nepal poco a poco hasta la frontera indiana hasta Varanasi. La opción que hemos elegido esta vez es el rafting. Estamos en los pies del Himalaya y una agencia nos ha propuesto de ir al sur en dos días por un rio! Nikel estamos a tope!Nos vamos pasado mañana, la aventura sigue…

Nepal


Francais:

Kathmandu est une ville superbe et nous sommes surpris par la richesse de son architecture. Les maisons sont majoritairement en briques roses avec des fenêtres et des portes en bois sculptés d’une rare richesse. Nous découvrons les stupas et les monastères, la gentillesse des Népalais et la bouffe un peut plus varié que celle de l’inde.
Nous rallongeons un peu notre séjour ici car cette ville regorge de lieux passionnants. Nous partons après demain pour la deuxième ville du pays, Pokara en prévision d’un trek dans l’hymalaya de quelques jours. J’en profite pour souhaiter un très bon anniversaire à Meda et le remercier pour sa fidélité.
Namaste !


Espanol:

Kathmandu es una ciudad maravillosa y estamos sorprendidos por su riqueza arquitectural. Les casas son en mayoridad de piedra rosa con ventanas y puertas de madera talladas de una rara riqueza. Descubrimos los templos, stupas y monasterios. La simpatía de los Nepalis y la comida un poco mas variada que la de la India.

Alargamos un poco nuestro tiempo aquí porque la ciudad esta llena de lugares muy interesante. Nos vamos en dos días para la segunda cuida del país, Pokara en previsión de hacer un trek en los Hymalayas de unos días. Hablamos pronto…

Indian rythm...

Frances:

Il est difficile, après autant de temps, de se remémorer les milliers de choses qui nous sont arrivées. Mais je pense que ca vaut le coup d essayer. Au moment où je vous écris cette histoire, nous nous trouvons a Katmandu, au Népal. Mais ne brulons pas les étapes et revenons en a Pushkar, ville depuis laquelle on vous a écrit pour la dernière fois. Nous y sommes restes 2 semaines car comme vous le savez nous étions invites au mariage de la sœur d un ami rencontre au début du voyage. Nous nous sommes installes dans une petite guest house très sympa avec seulement 3 chambres et avons fait la connaissance de Tim et Laura, un couple de français très sympas. Apres la visite dans la famille de nos amis, Laura et moi sommes tombées très malades et donc clouées au lit pendant quelques jours et malheureusement aussi le jour tant attendu du mariage.

Je vais quand même tenter de vous raconter cette journée en fonction des commentaires de Tim et de Thom. En bref, un vrai mariage au sens indien du terme, c est à dire complètement désorganisé, avec pleins d indiens et des maries qui n ont pas l air très réjouis de devoir passer le restant de leur vie avec la personne que leurs parents auront choisie. Car malheureusement, l’Inde fonctionne toujours par mariage arrange entre gens de même caste. On attend donc le marié qui est visiblement toujours en retard et qui arrive a cheval suivi d un orchestre que l on n’entend pas tellement la techno va a fond du cote de la piste de danse. Les maries sont assis sur une sorte de trône et attendent que ca passe. Les uns après les autres, les invites défilent pour prendre la photo avec les stars de la journée. Sinon en dehors de ca, les invites sont tous assis en ligne et mangent. Les jeunes de leur cote se trémoussent sur la piste en montrant leur savoir faire au niveau des dernières chorégraphies a la mode sur de la techno a l indienne. Le mélange, vous l aurez compris, fait un bordel énorme et ne ressemblait pas vraiment a ce a quoi on s attendait. La seule chose qui nous émerveille à chaque fois, sont les costumes et les saaris des femmes. Elles sont magnifiques, elles portent toutes leurs plus beaux saari s et leurs plus beaux bijoux et c est un délice de couleurs et de beauté.

Le lendemain fut notre dernier jour a Pushkar. On fait les courses de dernière minute, nos adieux (qui n en sont pas vraiment) a Laura et Tim et on prend le bus direction Delhi pour aller passer quelques jours chez notre ami Derek qui étudie le cinéma. Nous avons alors la chance de faire le voyage avec un tout nouveau bus, premier voyage pour lui donc tout propre, tout beau. Mais qui dit premier voyage, dit bénédiction et puja. Un brahman vient donc faire ses offrandes et bénir le bus afin que rien n arrive, on le décore de fleurs on fait bruler de l encens etc ,etc. Le voyage se passera sans problème et nous arriverons a Delhi vers 6h du matin. De la on prend un bus local pendant environ une heure et on arrive a Noida. Alors Noida, c est une ville divisée par secteurs qui sont tous des quartiers résidentiels plutôt chics d ailleurs. Pour ceux qui connaissent Derek, a chaque coin de rue on s attendait a voir un quartier moins chic et a arriver dans un appart un peu pourri. Et bien non ! Derek loue avec 3 autres personnes une jolie maison, a deux étages, avec terrasse et des voisins tres fréquentables…

On arrive vers 9h, bien sur un dimanche matin on les réveille, tous avec une tête qui voulait clairement dire la fête de hier soir a été rude….On est tres contents d être la, Martha est la aussi et ca fait un bien fou de voir leurs 2 petites têtes…Ils ont l air en forme. Martha nous raconte son voyage et Derek ses cours. Quel plaisir de reparler espagnol…

Nous faisons aussi la connaissance des autres habitants et iinvités de la maison. Amir, un ami israelien de derek, ensuite Parsan, son collocataire indien fan de rock et en particulier de Nirvana. Et enfin, Isabelle, une allemande qui a vécu 10 ans a Barcelone et Baba, son mari. Les babas sont une sorte de sadu, indien donc, qui suit un gourou dans un ashram et qui passe sa vie sur les routes en vivant des dons des gens. Ca fait un choc au départ de voir une européenne mariée a un sadu mais les heures passent et on découvre une personne absolument étonnante et d une gentillesse énorme. Nous passerons quelques jours a Noida et en profiterons pour amener Baba faire sa première partie de bowling. Alors il faut savoir qu’ un Baba s habille en blanc avec une longue jupe genre paréo et une longue chemise blanche par au dessus. Vous pouvez vous imaginez le contraste avec les chaussures de bowling, ca donne un pure style. C est passionnant car il découvre, petit a petit, pleins de choses qu il ne connait pas, comme par exemple la danse. On a passe une soirée a danser et pour lui c était quelque chose qu’ il n avait jamais fait donc pour une première fois c était plutôt rigolo…

Apres quelques jours, nous decidons de suivre Isa et Baba vers Rishikesh et donc par la même occasion de retrouver Tim et Laura, nos amis de Pushkar. Le trajet est long de 7 heures pour parcourir quelques 264km… le tout dans un bus tellement pourri que la forme des fesses des passagers des dernières années aurait pu être moulée directement sur base de la forme des sièges… Le trajet se passera plutôt bien jusqu’ a ce que l on arrive vers 5h du mat a Haridwar qui est la ville avant Rishikesh et que la le chauffeur décide qu´ il ne va pas plus loin. Il nous affirme que ce bus ne va pas jusqu’a Rishikesh même si c est écrit noir sur blanc sur nos tickets et qu’il les a lui-même contrôlés au moment de notre montée dans ce même bus. On commence a s énerver, vous pensez bien on était les 4 seuls a devoir aller jusqu’ a Rishikesh, le calcul a pas été long pour lui… Bref, le ton monte, on squatte le bus en lui disant qu’ on en sortira pas avant d être arrives a destination etc, etc. Mais a ce jeux la, les indiens sont nettement plus forts et même Baba, qui est de nature très calme, a fini par nous dire de laisser tomber.

Du coup forcement, y a pleins de rickshaw qui nous proposent de nous emmener pour des prix enormes et 2 fois plus eleve que le prix de notre billet Delhi Rishikesh ! On fini par se poser, se remettre de nos emotions autour d un petit chai et puis de marchander jusqu a obtenir un prix trop cher mais raisonable pour enfin arriver a destination.

Finalement vers 6h30 du matin on arrive enfin a l entrée de Rishikesh et il ne nous reste plus qu’ a traverser le pont qui nous amène a Ram Jula, une partie de Rishikesh et nous rendre a notre guest house qui est, comme son nom l indique, « the last chance », la dernière du village…Le village a cet heure la, est déjà bien anime et le petit marche de fruits et légumes s installe a son aise, les sadus commencent leur rituel dans le Gange ainsi que les pèlerins . L atmosphère nous parait si calme et sereine, c est un vrai plaisir. Baba retrouve petit à petit ses amis et nous nous installons pour un petit chai dans leur échoppe habituelle. Baba a ce sourire sur le visage, il est comme un gosse tout fou de retrouver ses amis après les vacances familiales…Il nous présente a tout le monde, ils sont tous d une merveilleuse gentillesse. On arrive a la guest house et la, retrouvailles avec ses amis les chiens, ils lui font la fête, ca n en fini pas. Et lui comme un gamin fait des bonds dans tous les sens autour du jardin…tout ca pour vous dire que notre première impression fut plutôt agréable.

On s installe donc dans notre chambre, beaucoup moins agreable directement, on dirait une cellule de prison couleur vert hôpital avec juste la place pour 2 petits lits séparés par une immense table de chevet…Ca fera l affaire une nuit ou deux mais on est trop fatigues que pour se poser plus de questions, on se met en route pour une bonne sieste bien méritée vers 10h du matin.

Réveil vers 15h, on s offre une pizza et puis il est l heure de la Ganga shower, la baignade dans le Gange qui, je vous rassure, est aussi propre que toute autre rivière en tout cas ici c est le cas! Toute la troupe se met en route Baba, Isa, Thom, moi, les 4 chiens et Sitaram baba, un ami de notre Baba. Quelle tranquillité et enfin un peu de fraicheur…une merveille de se poser a cote du Gange et d observer aussi tous les rituels qui lui sont associes, les crémations des morts, les offrandes c´est passionnant. La soirée se passera sur le toit de l hôtel pour fêter l anniversaire de Vijay, l ami de Baba et gérant de la guest house.

On passera encore une nuit dans l hôtel et puis on décidera de changer pour une chambre un peu plus dans le centre, plus grande et avec notre propre salle de bain. Ce qui nous amènera bien des ennuis. En effet on donne nos vêtements à laver. D´habitude on le fait a la main mais la y en avait beaucoup et ils avaient besoin d un bon nettoyage. C est le cas de le dire ils ont été tellement bien nettoyés qu’ils ont tous brules car le gars a mis trop de détergent dessus. Ce qui fait que les ¾ de nos fringues sont mortes, petites culottes et caleçons y compris. Les pourparlers pour se faire rembourser seront long et au final on y perdra puisque de jours en jours les vetements qui avaient l air d être intacts se déchirent les uns a la suite des autres. Ca c était le premier soir et le second, le magasin en paille et bambou voisin de notre hôtel se met a cramer entrainant panique générale, déménagement en quatrième vitesse et ensuite une nuit de sommeil agitée.

Entre temps, on a retrouve nos amis Laura et Timo et donc on passe beaucoup de temps ensembles. Baba nous emmènera visiter l ancien ashram des Beatles. A une époque, ils ont passe quelques temps la bas et y ont compose leur album blanc. C est super beau, en ruine certes, mais les maisons ressemblent a des œufs en pierres a double étage super equipes. C est immense et l atmosphère qui y règne est vraiment très étrange. La journée se terminera sous une pluie monumentale qui aura le cote positif de nous faire passer la soirée tous ensembles a jouer aux cartes en buvant de très bons chai.

Nous sommes dimanche et Baba et Isa sont partis en lune de miel vers le nord. Nous, de notre cote, nous nous renseignons avec Laura pour passer le premier niveau de Reiki. Le Reiki est une médecine japonaise qui cure les maux en se basant sur les flux d énergie. Le maitre de Reiki prend son énergie au niveau de la nature et de l énergie universelle pour la transmettre par les mains dans le corps du patient sans le toucher. Ca a l air assez mystique comme ca mais ca fonctionne vraiment. On devait commencer tous les 3, sans Timo, le premier niveau le lendemain matin et pas de bol pour moi, je suis retombée malade et donc j ai du laisser tomber pour me reposer. Les quelques journées qui suivent se partagent donc entre les cours de reiki la matinée, le déjeuner et un peu de flanage au Freedom café, petit endroit très tranquille au bord du Gange et puis baignade et longues discussions avec nos 2 compères.

Le cours de Reiki durera jusqu’ au mercredi et après de nombreuses hésitations et de fréquents changements de plans, on tire a pile ou face pour savoir si on part plutôt vers le nord de L inde ou plutôt vers le Népal qui était le plan au départ. Les pièces sortiront chaque fois une réponse identique, le Népal. On réserve donc notre train en essayant de ne pas trop penser aux longues heures de trajets qui nous attendent. Et encore on ne savait pas encore a quel point ca allait être long….

Le jeudi soir on fait donc nos adieux, pour de vrai cette fois, a Laura et Timo même si on est sur de se revoir cet été peut être et sinon un de ces quatre de tout manière… On se met finalement en route vers notre prochaine destination, Katmandu, capitale du Népal.

Le trajet en train nous emmène, au bout de 7 heures, dans une ville située a 3 heures de la frontière. Arrives la bas, on monte dans ce que nous réalisons être le bus le plus pourri depuis notre départ en voyage ! Le trajet se passera bien. Arrives a la frontière, on passe les pseudos contrôles le plus tranquillement du monde. D´ un cote comme de l autre, faut pas être presse sinon c est foutu d avance….Arrive du cote du Népal, on trouve enfin le calme et la paix dont tout le monde nous avait parle. Pas de bruit de klaxon, les gens ne posent pas sans arrêt les mêmes questions, ils n en posent pas ce qui est encore mieux !

Vers 16h, on embarque dans un bus local, qui est donc synonyme de pourri, vous l aurez compris, pour ce qu’on nous avait annonce comme 16h de trajet jusqu’ a Katmandou. On nous avait dit aussi que parfois au Népal, un voyage de 4h pouvait au final durer 4 jours…Alors nos places sont celles du fond, les pires car a chaque bosse le bus saute et toi avec et tu risques tout le temps de te cogner la tête sur le toit. Vu l état des routes il faut s en arrêt s agripper et se préparer à pousser sur les jambes pour amortir la bosse et protéger le dos donc le sommeil ne fut pas très réparateur dans ce cas ci.

Au final, notre trajet n aura pas été aussi long mais est passe de 16h a 24h ce qui, je vous le jure, est déjà énorme ! Entre la pluie et une ambulance bloqué dans la riviere, les 24h sont vite calculées. Mais malgré tout même si on en peut plus, le bon cote c est que le paysage est absolument magnifique, on se croirait au Laos, des rizières vertes partout, des montagnes, la jungle, une vraie merveille. On arrivera finalement samedi vers 17h a Katmandou en comptant un départ de Rishikesh le jeudi à 21h. Mais tout cela valait vraiment la peine, Katmandou est magnifique et tellement paisible que l on ne regrette pas les courbatures et le mal de dos… Apres une bonne nuit de sommeil on se sentira plus d attaque à se balader et a profiter de cet endroit magnifique.

Espanol:

Es bastante difícil después de tanto tiempo de rememorarse de las 1001 cosas que nos han pasado. Pero pienso que vale la pena intentarlo. Al momento donde escribo esta historia estamos en Katmandú en Nepal. Pero despacio y volvemos en Puskar la cuidad donde habíamos dejado la historia. Nos hemos quedado 2 semanas porque habíamos sido invitados en la boda de la hermana de los hermanos de Gokarna. Estábamos instalados en un hostal muy simpático con solo 3 habitaciones y hemos encontrado a Tim y Laura, una pajera de franceses muy guay. Después de haber cenado en la casa de los hermanos indios, Laura y yo hemos sido muy enfermas y entonces nos hemos quedado en la cama un par de días y con desgracia el día de la boda.

Intentare un poco de contároslos según lo que Thom y Tim nos contaron. Bueno una verdadera boda en el sentido indio. Es decir sin organización, con muchos indos y dos parejas que no estaban muy contentas de pasar el resto de sus vidas con alguien elegido por sus padres. Porque en la India todavía no puedes elegir tu pareja y tienes que casarte con alguien de la misma casta. Esperamos al futuro marido que se hace esperar y que llega en un caballo seguido por una banda de música que no se puede oír porque la música tecno va a tope del lado de la pista de danza. Las parejas están sentadas en una silla tipo la de un rey y esperan a que se pasen las cosas lo más rápido posible. Uno después del otro los invitados pausan por la foto con las estrellas del día y después se ponen en ligna y comen. Los jóvenes del otro lado están bailando y es a quien conocerá lo mejor las últimas coreografías de moda, todo con una música tipo tecno pero todavía a la indiana. La mescla, como lo puedes imaginar, hace un caos enorme y no se parecía por nada a lo que habíamos expectado. Lo único que nos encanta cada vez, son los vestidos y la gracia de las mujeres indias. Son magnificas, se ponen sus saaris mas bonitos y sus joyerías más impresionantes. Es un encanto de colores y de belleza.

El día siguiente es nuestro último día en Puskar. Hacemos las compras de último minuto, nuestros adiós (que no serón los últimos) a Laura y a Tim y cogemos el autobús de noche en dirección Delhi para dar una visita a nuestro amigo Derek que estudia el cine al lado en una ciudad que se llama Noida. Tendremos suerte con el autobús este día. Es decir que para el era el primer viaje así que todo nuevo y limpio, un placer! Pero quien dice nuevo dice bendiciones y puja. Un brahaman viene para hacer el ritual, dar leche, flores etc,etc, para que el viaje se pase sin problemas. Y fue así, ningún problema, una buena noche y una llegada a tiempo a las 6 de la mañana en Delhi. Dejamos algunas bolsas en la estación y cogemos otro autobús así hacia Noida. Llegaremos más o menos a las 9h. Noida es una ciudad residencial dividida por sectores. Todos son bastante chicos y para los que conocen a Derek nos parecía muy raro. Asi que a cada gira en una nueva calle nos estábamos esperando a ver una parte menos guay con pisos menos bonitos y más acerosos. Pero no! Derek alquila, con 3 personas mas, una casa bonita de 2 plantas con terraza y con vecinos muy frecuentables.

Llegamos en la casa de Derek a las 9h de la mañana, un domingo… Claro que les despertamos y que podemos ver en sus cars que la fiesta de ayer fue muy dura. Estamos súper contentos de estar ahí. Martha también está en Noida y nos hace gracia de ver sus caras a ella y a Derek. Martha nos cuenta su viaje y Derek lo de la escuela y parecen estar en plena forma. Es un placer también de volver a hablar en castellano.

Encontramos entonces las otras personas que viven en la casa de Derek. Amir, un amigo israelí de Derek, Parsan, su compañero piso indio que es un fan de música rock y en particular de Nirvana. Y, por fin, Isabel, una alemana que vivi en Barcelona durante 10 años y Baba, su marido. Un baba, es un tipo de sadu. Un sadu, es un indio que dedica su vida a un gurú en un ashram y el resto del tiempo, lo pasa en la ruta viviendo de lo que les dan las personas que sea comida o dinero. Al principio es estraño de ver una europea casada con un indio y además un sadu. Pero, las horas pasan, y descubrimos una persona muy interesante, abierta y súper simpática. Nos quedaremos un par de días en Noida y aprovecharemos para llevar Baba a su primer partido de bowling. Tenéis que saber que un baba se viste de falda larga blanca, tipo pareo, con una camisa blanca encima. Así que eso con los zapatos de bowling, da una estilo enorme! Es fantástico porque, poco a poco descubre nuevas cosas que ni sabía que existían, por ejemplo bailar. Hemos hecho una fiesta bailando toda la noche y para una primera vez era muy divertido…

Después de algunos días, tomamos la decisión de irnos a Rishikesh con Isa y Baba. Y también de ir a ver nuestros amigos franceses Tim y Laura que están allí desde un par de días. El viaje es muy largo, 7 horas para hacer un trayecto de…264 km! Y todo eso en un autobús tan petado que la forma del culo de los pasajeros de los últimos años hubiera podido ser duplicada únicamente con la forma del sillón. El viaje se pasara más o menos bien hasta que el bus se pare en la ciudad de Haridwar, antes de Rishikesh, y que el chofer no quiere ir más lejos Nos afirma que ese autobús no va hasta Rishikesh aunque está escrito en blanco en negro en los billetes que él ha controlado antes de nuestra subida en ese mismo autobús! Empezamos a ponernos de mala ostia. Lo puedes imaginar, estábamos los 4 únicos a irnos hasta Rishikesh, así que, el cálculo fue fácil para el… Bueno, el tono de voz sube, nos quedamos en el autobús y le dicemos que nos quedaremos hasta que nos lleva a destinación! Pero, a esa jugada, los indios son mucho más fuertes que nosotros y también Baba que es súper tranquilo se está perdiendo la calma y nos dice de dejarlo porque no ganaremos de toda manera…

Y bueno los rickshaw nos esperan y nos proponen de llevarnos por un precio enorme y 2 veces mas que caro que el precio del billete entero Delhi Rishikesh ! Al final, nos sentamos en una tienda de chai y esperamos un poco a ver lo que hacemos. Discutiremos el precio de un rickshaw hasta obtener algo correcto y llegaremos una hora después a Rishikesh.

Al final, llegaremos a las 6h30 de la mañana a la entrada de Rishikesh. Lo único que nos queda, es cruzar el puente que llega a Ram Jula una parte de la cuidad, y irnos hasta el final de pueblo a nuestra guest house quien, como su nombre lo dice claramente, “the Last Chance”, es la ultima del pueblo… A esta hora, el pueblo ya esta en actividad, los sadus empiezan los rituales en el Ganga, el mercado de frutas y verduras también se abre poco a poco. La atmosfera es tranquila y es un placer. Baba, poco a poco, vuelve a ver sus amigos y nos sentamos en la tienda habitual para beber un chai con todo el mundo. Nos presenta a ellos y son todos tan simpáticos y tranquilos con nosotros que nos cambia de los indios que encontramos en general. Baba tiene esa sonrisa en la cara es como volver a casa a ver sus amigos del pueblo después de las vacaciones con la familia. Llegamos a la guest house y ahora es tiempo de volver a ver sus otros amigos, los perros. Le hacen una fiesta que no para y Baba, no para de correr y saltar en todo el jardín. Todo eso para describiros un poco esa sensación que hemos tenido a nuestra llegada a Rishikesh.

Nos instalamos en nuestra habitación, mucho menos agradable directamente, parece como una habitación de cárcel, las paredes color verde hospital con justo el espacio para poner 2 camas individuales y una enorme mesa entre los dos. Pero estará bien por la primera noche y la segunda. Estamos tan cansados que nos da igual. Nos ponemos en la cama para una siesta bien meritada a las 10 de la mañana.

Nos despertamos a las 15h, y nos ofrecemos una pizza ! Después es la hora de la ducha en el Ganga. Para los que se dicen “en el Ganga es un poco sucio etc etc”, aquí no esta así, esta como todas las riveras, limpias y agradables. Todo el equipo se pone en marcha, Baba, Isa, Thom, yo y los 4 perros y también SItaram Baba, un amigo de Baba, sadu también. Una tranquilidad waouw, fantástica y por fin un poco de frescor. Es una maravilla de sentarse al lado del Ganga y de observar los rituales que se hacen, las cremaciones, las donaciones etc… súper interesante! La noche se pasara en el techo del hotel para celebrar el cumpleaños de Vijay el jefe del hotel.

Nos quedaremos una noche mas en el hostel y después nos marcharemos a una habitación mas grande, más agradable y con baño privado. Pero eso, al final, nos traerá algunos problemas. Por ejemplo, daremos las ropas a limpiar al hostel. Normalmente lo hacemos nosotros pero estaban tan sucias que limpiarlas correctamente una vez era, como lo pensábamos al principio, una muy buena idea y además algo necesario! No había que decirlo, el tío del hostel quería limpiar las tan bien que al final puso demasiada detergente que las ropas salieron de la lavadora completamente destrocadas y quemadas… Eso quiere decir que el ¾ de nuestras ropas no existe más, bragas y calzoncillos también. Y encontrar nuevos en la India eso es aventura! Discutiremos mucho tiempo con el jefe del hostel para que nos devuelva el dinero pero perderemos al final porque las ropas que todavía estaban bien, poco a poco se rotan como las otras. Eso era la primera noche, y la segunda, la tienda de paja y bamboo al lado de nuestro hostel quemara durante la noche, trayendo pánico general, mudanza con una velocidad enorme y una noche sin mucho sueño.

Mientras, volveremos a ver nuestros amigos Laura y Tim. Entonces, pasamos mucho tiempo juntos con Baba y Isa. Baba nos llevara a visitar el ashram de los Beatles. A una época, el grupo ha pasado algunos meses en un ashram aquí en Rishikesh y durante esa temporada escribieron el álbum “White”. Es fantástico y súper bonito, en ruinas eso es cierto, pero las casa parecen como huevos de piedras con 2 plantas, baño, etc, etc, súper bien equipadas. También es enorme y la atmosfera extraña. El día se acabara con una lluvia monumental y jugando a las cartas con algunos chais deliciosos. Fue un día muy simpático y lleno de descubrimientos.

Somos el domingo. Hoy Baba y Isa se han ido en luna de miel al norte. Nosotros, de nuestro lado, tomamos informaciones para pasar el primer nivel de Reiki. El Reiki es una medicina japonesa que cura las enfermedades y dolores de un paciente con flujos de energía. El maestro toma la energía de la naturaleza y de la energía universal para transmitirla al paciente sin tocarle. Parece un poco místico así, pero funciona de verdad, he hecho la experiencia. Teníamos que empezar los 3, sin Tim, el lunes, pero otra vez me puso enferma, así que no he podido hacerlo. Los días se dividen entre las clases de reiki por la mañana, la comida y hacer nada en un café llamado el Freedom. Ese café es muy bonito y tranquilo, así al lado del Ganga, es lleno de paz. También aprovechamos del sol para tomar duchas en el Ganga y encima de todo eso, una multitud de conversaciones apasionantes con nuestros compañeros de viaje.

Las clases de Reiki duraran hasta el miércoles y después de muchas hesitaciones y de varios cambios de planos, jugamos con una moneda. Cada de las dos caras tiene una destinación, o Nepal, o el norte de la India. Cada vez, el Nepal sale ganador, así que Según la moneda decidimos irnos el día siguiente al Nepal. Reservamos nuestros billetes de tren, intentando no pensar a las largas horas de viaje que nos están esperando. Pero no podíamos imaginar que iba a ser tantas horas….

El jueves por la tarde, decimos adiós, de verdad esta vez, a Timo y Laura, aunque sabemos que nos veremos o ese veranos o unos de esos días. Finalmente, nos ponemos en marcha para el próximo destino, Katmandú, capital del Nepal.
El trayecto en tren nos lleva, después de 7 horas, en un pueblo situado a 3 horas de la frontera. Allí, nos damos cuenta de que el autobús que nos va a llevar a Nepal, es el más cutre y viejo de todos los autobuses que hemos tomado desde el principio de nuestro viaje, y eso nos es poco decir! Fue un viaje tranquilo y sin problemas. A la frontera, pasamos los controles de la manera la más tranquila del mundo, no hay que tener prisa sino estas perdido. Llegaremos por fin del lado del Nepal, y allí, encontramos la calma y la serenidad que la gente nos había contado haber encontrado en Nepal. Ningún ruido de claxon, la gente no te pregunta mil veces las mismas cosas, mejor, no te pregunta nada, apenas se da cuenta de nuestra presencia…y eso es fantástico!

A los alrededores de las 16h, embarcamos en un bus local, es decir, como lo sabéis ya, súper malo y inconfortable, para lo que pensábamos ser 16h horas e viaje hasta Katmandu. La gente nos haba dicho también que, en Nepal, un trayecto de 4h puede convertirse en un viaje de 4 días… en el autobús, nuestros sitios son los últimos del fondo, es decir los peores porque hay que aguantarse a cada choque que hay en la ruta. Bueno, las rutas en Nepal tienen un montón. Entonces, a cada choque tienes que aguantarte a una barra para no saltar y golpearte la cabeza al techo. Mirando el estado de las rutas en Nepal fue casi imposible de poder dormir un poco.

Al final, no fue un trayecto de 4 días pero de 16h tampoco. Llegaremos a Katmandu 24h después! Y eso, lo juro, ya es enorme! Con la lluvia y una ambulancia bloqueada en el camino porque el rio había desbordado, las 24h ya son rápidamente calculables. Aunque no podemos mas y somos muy cansados, que no duele el culo y la espalda, el viaje es magnífico, los paisajes te cortan la respiración. Parece a Laos, las montañas, las rizieras y la selva, es precioso…Finalmente, llegaremos a Katmandu el sábado a las 17h, teniendo en cuenta que habíamos empezado el viaje desde Rishikesh el jueves a las 21h! Pero merecía la pena. Katmandu es magnífica y tan tranquila que no tenemos en cuenta los dolores de culo y de espalda… Después de una buena noche, estaremos preparados y en plena forma para descubrir y aprovechar de ese lugar que al parecer nos va a gustar muchísimo…

Todo bien

Pour toutes personnes qui se serait inquiete au sujet des attentats d'hier a Jaipur en Inde, nous allons bien et sommes deja repartis vers le nord.
A bientot pour la suite des news...

Para todos que se habian preocupado por el atentado de ayer en Jaipur en India, estamos bien y ya haviamos movido hasta el norte.
Hasta pronto por el resto de la historia...

Puskar, sacred place

Français:

Puskar est une petite ville superbe en plein coeur du Radjastan. Petites maisons, palais et temples blancs et bleus grouillent de partout. Les femmes sont superbes avec leur saaris de toutes les couleurs et leurs voiles transparents qui laissent apparaitre des traits fins et un regard malicieux. Nous passons beaucoup de temps avec nos petits tailleurs qui nous fabriquent sur commande nos moindres caprices. Un soir, les quatre frères nous ont invité a diner en famille dans leur village. Nous sommes recus comme le messie, prenons des cours de cuisine et savourons un met a la hauteur de la magie de ce lieu. Les enfants nous font beaucoup rire et tout cela nous présage un beau mariage.

Krisna l’epicier du coin, fait partie de la caste des Brahman, les prètres Indhous. Après avoir eu de longues discutions, une amitié spéciale s’est construite entre nous. Puskar est un village sacré et la coutume veut que nous nous présentions aux divinités locales. Seuls les Brahmans peuvent accompagner les fidèles lors de la cérémonie du « Puja » (offrande). Nous demandons à notre ami de nous guider dans ce rituel, acceptant il nous donne rendez-vous le lendemain après le levé de soleil. La ville était encore calme lors que nous rejoignons le lac. Krishna se pose à notre coté sur les marches du ghat et ouvre la cérémonie. Nous jetons des fleurs et du lait dans l’eau bénite. L’encent parfume l’atmosphere et les prieres en sanscrit porte notre action auprès des dieux de ton choix. C’est un moment magique, le temps s’est arrêté et nous permet de comprendre l’importance de ce lieu pour les hindous. Les paroles du viel homme se sont envolées portées par la brise enchantée mais chaque instant restera gravé en nous à jamais.

Nous restant un peu de temps à passer ici nous décidons de rejoindre en moto la ville bleue de Jodhpur à 200 km vers la frontière pakistanaise. D’y passer une journée sur place et de rentrer le lendemain. Leves de bonne heure, petit déjeuner costaux, bouteilles d’eau, on enfourche la moto, faisons le plein, l’aventure commence…

Il fait très chaud en ce moment dans cette région désertique de l’Inde. A l’hôtel, le thermomètre indiquait 45º, ici sur le bitume je ne prefere pas savoir. Les litres d’eau défilent comme les kilomètres. La route et plutôt très mauvaise et les indiens ayant plusieurs vies, roulent comme des inconscients. Lorsque nous nous arrêtons dans les petits villages pour prendre de l’eau, les locaux nous sautent littéralement dessus, s’agglutinant autour de nous en pleine hallucination.


Après deux bonnes heures de route, nous arrivons dans un petit village. La rue principale est en pleine activité. Nous roulons au pas lorsque nous croisons un troupeau de vaches. Tout à coup, un taureau en chaleur se met dans la tête de monter une vache qui elle n’avait vraiment pas l’air en chaleur. La vache furieusement surprise, pris peur et se déporta sur le milieu de la route avec notre ami taureau sur l’arrière train. Je ne me souviens pas à quoi j’ai pensé en premier, freiner ou bien que cela ne pouvait pas être réel? Terribles auraient pu être les conséquences… La moto est venue s’encastrer dans notre monstre noir, lui enlevant toutes envies future par cette castration punitive. Rachel et moi, grâce à la lenteur à laquelle nous allions n’avons rien eut. La moto a subi quelques rayures de guerres qui n’ont en rien empéché son bon fonctionnement. Lorsque nous nous arrêtions prendre de l’eau il y avait pas mal d’indiens, mais la c’est le cirque. Ils nous aident à relever la moto, la mettent sur le coté et c’est parti ! Et comment tu t’appelles, et c’est quoi ton pays et vous êtes mariés… A peine remis de nos émotions, il fut difficile d’être sociables cette fois-ci. Nous reprenons la moto et nous arrêtons quelques km plus loin pour reprendre nos esprits.

La route est encore longue et il commence à faire chaud, plus vite nous serons arrivés, mieux se sera. Mais le vent se met à soufler et le sable du désert nous fouette le visage. Plus que quelques kilomètres et nous sommes à Jodhpur. Soudain la roue arrière de la moto vacille un peu, puis de plus en plus. Je me gare sur le côté et bien sur, nous avions crever. Dans tout malheur il y a du bon ou du moins il va de la survie de notre morale de le trouver. Sur les 200 km de route, nous crevons á 100 mètres d’un garage qui en deux trois coups de main nous remet la moto sur pied. Mais la route n’est pas finie et il faut encore rejoindre l’hotel au cœur de la vielle ville. Jodhpur est un labyrinthe de ruelles où l’activité grouille comme une fourmilière. C’est du sport. Nous slalomons pendant bien 1 heure dans ce dédale d’animaux, toutouc, motos, vendeurs ambulants… en espérant que le prochain croisement sera le dernier.

Nous sommes arrivés après 7h de trajet épuisés. La ballade prévue devait au plus nous prendre les 4h de la matinée et nous passerons les dernières heures du jour sur la terrasse de l’hotel au calme de cette jungle humaine inépuisable. Nous profiterons donc qu’un peu de Jodhpur. Une ville où les maisons sont peintes en bleu pour repousser les insectes et qui est surplomblée par un magnifique palais de Maharaja. Un vrai décors des mille et une nuits.

Vaccinée contre les routes en Inde, Rachel prendra le bus pour rentrer et je ramenerai la moto seul. On n’a beau etre le plus prudent possible, la folie de l’Inde vous rattrapera toujours. Le retour plus rapide et un peu moins dangereux confirme une nouvelle fois que les trajets en moto ne sont pas à renouveler pour des grandes distances. La route appartient au plus gros et s’y engager peu rendre une si belle aventure en cauchemar.

De retour à Puskar, le calme revient et nous retrouvons avec joie un couple de Français à l’hôtel. Le mariage commence demain et durera 5 jours. Changement de décors et retour aux sources.

Español:

Puskar es un pueblo muy lindo en el corazón del Rajastan. Casitas, palacios y templos blancos y azules llenan el lugar. Las mujeres son guapísimas con sus saaris de todos los colores. Tienen los rastros finos y la mirada lista. Passamos mucho tiempo con nuestros “tallers” que nos crean los diseños que pidamos. Una noche, los 4 hermanos nos invitaron a cenar en su familia al pueblo. Estamos recibido como el mecia. Tomamos un curso de cosina india y comemos una cena a la altura de la magia del lugar. Disfrutamos mucho con los niños y todo esto nos prediga una muy buena boda.

Krisna, el vendedor de todo lo que quieres del bario, es un hombre viejo. Hace parte de la casta de los brahmanes, los cura indhou. Despues de haber compartido muy buenas charlas con el, una amistad especial se a creado entre nosotros. Puskar es una ciudad sagrada y la costumbre quiere que todos nuevamente llegado, tienen que presentarse a los dioses locales. Solo un brahmán puede hacer la ceremonia de la Puja (donación). Le pedimos a nuestro amigo de ser nuestro guía en este ritual y aceptando el nos da hora para la mañana siguiente quando el sol acaba de levantarse. La ciudad esta todavía tranquila cuando llegamos al lago. Krishna se sienta a nuestro lado sobre las escaleras del Ghat y abre la ceremonia. Mandamos flores y leche al lago. El incienso perfuma la atmosfera y las encantaciones en sanskrit lleva nuestra acción al alcance de los dioses. Es un momento mágico, el tiempo se ha parado y nos permite entender la importancia del lugar por los Indhous. Las palabras del hombre viejo se han ido volando llevando por la brisa encantada pero cada instante se quedaron gravados en nosotros por siempre.

Teniendo mas tiempo que previsto a pasar aquí, decidimos de ir en moto en la ciudad azul de jodhpur a unos 200 km en dirección de la frontera con Pakistan. Pasar el día allí y volver el día siguiente. Nos levantamos pronto, desayunamos bien, reserva de agua, gasolina en la moto y la aventura empesa…

Hace mucho calor en esta epoqua en esta región desertica de la india. En el Hostal, el thermometro indicaba 45º, aquí en el asfalte no quiero saber. Los litros de agua desfilaron como los kilómetros. La carretera estaba muy y los indios teniendo varias vidas, conducen como inconscientes. Cuando nos parábamos en los pueblecitos para comprar agua, los locales nos saltaban literalmente encima, aglutinándose a tu alrededor en total alucinación.

Después de 2 horas de carretera, llegamos en un pueblo. La calle principal estaba llena de actividad. Íbamos tranquilamente cuando llegamos a la altura de unas vacas en el lado de la calle. De repente, un torro super caliéntese ponen en la cabeza de follar una vaca que nos parecía por nada caliente. La vaca fría y sorprendida, cogí miedo delante del miembro en fuego y salí del lado hasta cruzar mi camino con el torro a gripado. No me recuerdo bien lo que me pase por la cabeza primero, frenar o que todo esto no podía ser real? Grave hubiera podido ser las consecuencias… La moto choco con el monstro negro quitándole todas envías por siempre gracias a la mega castración que le hemos infligido. Rachel y yo, gracias a pequeñita velocida a la cual íbamos, no hemos tenido nada. La moto tiene alguna cicatrizas de guerra pero nada grave. Cuando habíamos parado en pueblos antes había bastante gente, pero ahora estábamos en el circo. Nos ayudaron a recoger la moto, poner la en el lado y venga vamos… Y como te llamas, cuales tu nombre, estáis casado… todo las preguntas de la escuela india. Apenas habíamos recuperado de nuestras emociones fue difícil de ser sociable esta vez. Cogimos la moto y paramos mas lejos para descansar.

El camino estaba todavía largo y empezaba a hacer calor. Mas rápido llegaremos mejor será. Pero el viento se pone a soplar y la arena del desierto nos llega en plena cabeza. Cuando nos queda pocos kilómetros hasta la ciudad, de repente la rueda trasera se pone a vaciar. Páramos y por supuesto la rueda estaba rota. Tres abúrelos. En todos las pesadias hay un buen lado o bien hay de encontrarlo para guardar el moral. En 200 km de carretera, rotamos la rueda a 100 metros de un taller que en un par de gira de manos nos pone todo en orden. Pero todovia el viaje sigue y tenemos que encontrar l’hostal en el corazón de la ciudad vieja. Jodhpur es un labirinto de calesitas donde la actividad a esta hora es máxima. Slalomeamos durante una hora en un follón de animales, touctouc, moto, vendedor ambulante… esperando que el próximo cruce será el último.

Hemos llegado despues de 7 horas de trayecto muerto. No tenia que ser mas de las 4 horas de la mañana y pasaremos el resto del dia en la Terrassa del hostal a fuera de la jungla india que nunca se cansa. Disfrutamos entonces poco de la ciudad. Esta pintada de color azul para que los insectos no se acercan y tiene un palacio de maharajá en la cumbre de una montaña. Un verdadero ámbito de las mil y unas noches.

Vacunada contra las carreteras indias, Rachel cogí un bus para volver y yo solo en moto. Siendo muy atento la locura de la india te encontrar de toda manera. La vuelta mas rápida y un poquito menos peligrosa, ha confirmado otra vez que los trayecto largos en moto no son recomendado. La carretera pertenece al mas gordo y tomarla puede transformar un viage tan guapo en pesadilla.

De vuelta en Puskar, la tranquilidad vuelve y volvemos a ver con placer una pareja de franceses en el hostal. La boda empesa mañana y durara 5 dias. Cambia de escenario y vuelta a los raíces.

Ayurvedic Massage


Français:

Nous voila donc diplomes en massage ayurvedic… Apres une semaine de theorie et surtout de pratique on est prêt a tester ce qu on a appris sur vous…Donc amateurs de massages prenez rendez vous car on doit encore s entrainer un máximum donc on a besoin de votre aide…

On a donc quitte Hampi et sa chaleur frolant chaque jour les 45 degres pour passer enfin vers la partie nord du pays et plus precisement pour aller a Pushkar.

Alors le voyage, tenez vous bien nous a pris porte a porte la petite duree de 54heures!!!! Et oui, une partie de plaisir!

On a pris le train pour 5h a partir de Hampi pour arriver dans une ville un peu pourrie mais notre train partait de la le lendemain matin. On devait donc passer une bonne nuit a l hotel avant le depart mais malheureusement on avait pas trop realise que beaucoup de gens prennent un train le lendemain matin a partir de cette petite ville. Les hotels sont nombreux mais pleins et le peu de chambres qui sont libres sont hyper cheres… On mange bien et puis on prend la sage ou pas sage decisión de passer la nuit a la gare dans la salle d attente… On s installe avec notre petit drap par terre et on dort plutot bien d ailleurs…

A 6h30 du matin notre train arrive et on s embarque donc pour ce quo n pensait etre 34 heures de trajets qui se reveleront au final etre 37heures…A partir d un si grand nombre 3h ca change beaucoup surtout quand on l apprend au moment ou l’on aproche de la fin des 34h prevues….

Les trains, en Inde, sont plutot pas mal, trains couchettes avec des ventilateurs au plafond, ca va c est supportable. Sauf que malheureusement y a des gens qui achetent un ticket pour faire ces fameuses 34h et qui ne reservent pas de couchette…Qu est ce qu ils font dans ce cas la? Ils squattent la votre, grignottent quelques centimetres par ci ou par la et au final on fini a 5 sur notre banquette alors qu on devrait etre 2. Comme la couchette s abaisse pour faire une banquette, quand ils en ont assez de pas pouvoir s asseoir car vous dormez profondement, ils commencent petit a petit a parler fort a s asseoir sur le coin de la couchette et a vous donner des petits coups discrets…Ils ecoutent de la musique sur leur telephone, Font des proutes bref tout est fait pour que vous vous reveilliez sans trop vous rendre compte de ce ou plutot celui qui vous a reveille….

Et puis aussi pendant la journee, quand la couchette est transformee en banquette, ils mettent leurs pieds sur la votre, bref au final ce sont ceux qui n ont pas paye pour avoir de couchette qui se retrouvent etre installes le plus confortablement!

D un autre cote, ce trajet en train nous a permit de soigner une petite fille qui etait tombee de la couchette du haut et s etait ouverte tout le manton, donc de passer pour des heros et donc de se voir offrir plein de bouffe par une charmante famille pendant tout le trajet…plutot pas mal… La pauvre puce, elle a du attendre un autre 30 heures avant de pouvoir se faire soigner par un vrai medecin…

Bref samedi soir (le depart etait le jeudi apres midi) on arrive enfin a Pushkar, on s ecroule de fatigue directement en arrivant. Le lendemain, on decouvre la ville. Thomas y etait deja venu mais ne reconnais pas trop l endroit qui a beaucoup changé. On se ballade, c est super joli, pleins de pettes ruelles autour d un lac, des jolis palais…bref tres sympa.

On se met a la recherche de nos amis de gokarna, Ganesh et Rama, les 2 freres qui font des supers vetements…On fini par trouver leur magasin et la tres chouettes retrouvailles, on boit un petit chai (the local) tous ensembles, on discute…on passe un bon moment…

Aujourd hui, nous sommes le lundi 28 avril, on va passer encore quelques jours ici et puis je pensé qu on va remonter vers Delhi pour rejoindre notre ami Derek et puis aller se poser 2 ou 3 semaine un peu plus au nord pour trouver une autre formation ou aider une association locale, on ne sait pas encore trop.

Mais on arrive a un momento du voyage ou on a plus envie de faire du tourisme, on voudrait s engager plus dans quelque chose, apprendre ou donner de son temps, dans les 2 cas trouver un enrichissement autre que celui qu on a eu et qu on a adore mais qui peut etre ameliore…

Bonne journee a tous!


Español:

Ya estamos diplomados en masajes ayurvedics… Después de una semana de teorías y especialmente de practica, estamos listo para probar lo que hemos aprendido con vosotros. Entonces aficionados de masajes, tomar citas!

Nos vamos de Hampi y su calor acercándose de los 45º para por fin descubrir el noroeste del país y particularmente la Ciudad de Puskar. Un trajecto de solo 54 horas!

Bueno, el viaje, aguantate bien, de puerta a puerta durara unas cortas 54 horas !!! Un placer total!!

Tomamos un tren a las 5h de la mañana para llegar en una ciudad podrida donde temíamos nuestro tren principal el dia siguiente. Queriamos tomar una habitación en un hostal bajato pero todas estaban llenas. Entonces después de un cena que fue la mas larga posible, nos hemos ido a dormir en la estación de tren. Una noche mejor de los que esperábamos.

A las 6h tomamos el tren para un viaje de 34h que acabaron en 37h. A partir de tantas horas, no cambia mucho de toda manera. Hay peor que los trenes indios. Tienen cuchetas, ventilador al techo y te puedes fumar tu piti al la puerta. Pero desgracia mente hay gente que compran billetes pero que no tienen numero de sitios. Que hacen esta gente? Pasan el tiempo en la cucheta del guiri, comiendo centímetros por centímetros para al final ser 5 en un sitios donde teníamos que ser 2. Cuando duermes poco a poco empesan a hablar con fuerza, escuchar música, hacer pedos… todo que pueden para despertarte y disfrutar del lugar.

El trayecto nos ha permitido curar una niña qua e habia caído de una coucheta y se había habíerto la boca derando las dientes del otro lado. Pasamos por héroes y la gente se puso a darnos comida por todos lados. La pobre chica a tenido que espera 30 horas para llegar al hospital.

El sabado por la noche llegamos por fin a Puskar. El dia siguiente recogemos la ciudad de par en par. Thomas no se recordaba del lugar que ha cambiado mucho desde entonces.

Nos ponemos en búsqueda de nuestro amigo de Gokarna, los 4 hermanos que hacen ropas muy guapas… El encuentro es muy simpático con el chai (el the) todos juntos, un momento muy bueno.

Hoy estamos el 28 de abril, pasaremos algunos dias aquiy iremos a delhi para ver a Dereck el loco. Despues queremos pasar 2 o 3 semanas en el norte para hacer otra formación o ayudar en una asociación humanitaria. Todavia no sabemos.
Llegamos a un momento del viaje donde no tenemos mas ganas de hacer tourismo. Queremos participar en algo, aprender algo o dar de nuestro tiempo. En todos casos adquirir un enrichesamiento otro que hemos tenido, que nos ha gustado pero que podría ser ameliorado.

Ultima cosa, Marcos de todo nuestro corazón un feliz cumple años…
Hasta pronto!