"The discovery travel doesn´t consist in looking for new landscapes but to see things differently - Le voyage de la decouverte ne consiste pas à chercher de nouveaux paysages mais à voir les choses différement" - Marcel Proust

Puskar, sacred place

Français:

Puskar est une petite ville superbe en plein coeur du Radjastan. Petites maisons, palais et temples blancs et bleus grouillent de partout. Les femmes sont superbes avec leur saaris de toutes les couleurs et leurs voiles transparents qui laissent apparaitre des traits fins et un regard malicieux. Nous passons beaucoup de temps avec nos petits tailleurs qui nous fabriquent sur commande nos moindres caprices. Un soir, les quatre frères nous ont invité a diner en famille dans leur village. Nous sommes recus comme le messie, prenons des cours de cuisine et savourons un met a la hauteur de la magie de ce lieu. Les enfants nous font beaucoup rire et tout cela nous présage un beau mariage.

Krisna l’epicier du coin, fait partie de la caste des Brahman, les prètres Indhous. Après avoir eu de longues discutions, une amitié spéciale s’est construite entre nous. Puskar est un village sacré et la coutume veut que nous nous présentions aux divinités locales. Seuls les Brahmans peuvent accompagner les fidèles lors de la cérémonie du « Puja » (offrande). Nous demandons à notre ami de nous guider dans ce rituel, acceptant il nous donne rendez-vous le lendemain après le levé de soleil. La ville était encore calme lors que nous rejoignons le lac. Krishna se pose à notre coté sur les marches du ghat et ouvre la cérémonie. Nous jetons des fleurs et du lait dans l’eau bénite. L’encent parfume l’atmosphere et les prieres en sanscrit porte notre action auprès des dieux de ton choix. C’est un moment magique, le temps s’est arrêté et nous permet de comprendre l’importance de ce lieu pour les hindous. Les paroles du viel homme se sont envolées portées par la brise enchantée mais chaque instant restera gravé en nous à jamais.

Nous restant un peu de temps à passer ici nous décidons de rejoindre en moto la ville bleue de Jodhpur à 200 km vers la frontière pakistanaise. D’y passer une journée sur place et de rentrer le lendemain. Leves de bonne heure, petit déjeuner costaux, bouteilles d’eau, on enfourche la moto, faisons le plein, l’aventure commence…

Il fait très chaud en ce moment dans cette région désertique de l’Inde. A l’hôtel, le thermomètre indiquait 45º, ici sur le bitume je ne prefere pas savoir. Les litres d’eau défilent comme les kilomètres. La route et plutôt très mauvaise et les indiens ayant plusieurs vies, roulent comme des inconscients. Lorsque nous nous arrêtons dans les petits villages pour prendre de l’eau, les locaux nous sautent littéralement dessus, s’agglutinant autour de nous en pleine hallucination.


Après deux bonnes heures de route, nous arrivons dans un petit village. La rue principale est en pleine activité. Nous roulons au pas lorsque nous croisons un troupeau de vaches. Tout à coup, un taureau en chaleur se met dans la tête de monter une vache qui elle n’avait vraiment pas l’air en chaleur. La vache furieusement surprise, pris peur et se déporta sur le milieu de la route avec notre ami taureau sur l’arrière train. Je ne me souviens pas à quoi j’ai pensé en premier, freiner ou bien que cela ne pouvait pas être réel? Terribles auraient pu être les conséquences… La moto est venue s’encastrer dans notre monstre noir, lui enlevant toutes envies future par cette castration punitive. Rachel et moi, grâce à la lenteur à laquelle nous allions n’avons rien eut. La moto a subi quelques rayures de guerres qui n’ont en rien empéché son bon fonctionnement. Lorsque nous nous arrêtions prendre de l’eau il y avait pas mal d’indiens, mais la c’est le cirque. Ils nous aident à relever la moto, la mettent sur le coté et c’est parti ! Et comment tu t’appelles, et c’est quoi ton pays et vous êtes mariés… A peine remis de nos émotions, il fut difficile d’être sociables cette fois-ci. Nous reprenons la moto et nous arrêtons quelques km plus loin pour reprendre nos esprits.

La route est encore longue et il commence à faire chaud, plus vite nous serons arrivés, mieux se sera. Mais le vent se met à soufler et le sable du désert nous fouette le visage. Plus que quelques kilomètres et nous sommes à Jodhpur. Soudain la roue arrière de la moto vacille un peu, puis de plus en plus. Je me gare sur le côté et bien sur, nous avions crever. Dans tout malheur il y a du bon ou du moins il va de la survie de notre morale de le trouver. Sur les 200 km de route, nous crevons á 100 mètres d’un garage qui en deux trois coups de main nous remet la moto sur pied. Mais la route n’est pas finie et il faut encore rejoindre l’hotel au cœur de la vielle ville. Jodhpur est un labyrinthe de ruelles où l’activité grouille comme une fourmilière. C’est du sport. Nous slalomons pendant bien 1 heure dans ce dédale d’animaux, toutouc, motos, vendeurs ambulants… en espérant que le prochain croisement sera le dernier.

Nous sommes arrivés après 7h de trajet épuisés. La ballade prévue devait au plus nous prendre les 4h de la matinée et nous passerons les dernières heures du jour sur la terrasse de l’hotel au calme de cette jungle humaine inépuisable. Nous profiterons donc qu’un peu de Jodhpur. Une ville où les maisons sont peintes en bleu pour repousser les insectes et qui est surplomblée par un magnifique palais de Maharaja. Un vrai décors des mille et une nuits.

Vaccinée contre les routes en Inde, Rachel prendra le bus pour rentrer et je ramenerai la moto seul. On n’a beau etre le plus prudent possible, la folie de l’Inde vous rattrapera toujours. Le retour plus rapide et un peu moins dangereux confirme une nouvelle fois que les trajets en moto ne sont pas à renouveler pour des grandes distances. La route appartient au plus gros et s’y engager peu rendre une si belle aventure en cauchemar.

De retour à Puskar, le calme revient et nous retrouvons avec joie un couple de Français à l’hôtel. Le mariage commence demain et durera 5 jours. Changement de décors et retour aux sources.

Español:

Puskar es un pueblo muy lindo en el corazón del Rajastan. Casitas, palacios y templos blancos y azules llenan el lugar. Las mujeres son guapísimas con sus saaris de todos los colores. Tienen los rastros finos y la mirada lista. Passamos mucho tiempo con nuestros “tallers” que nos crean los diseños que pidamos. Una noche, los 4 hermanos nos invitaron a cenar en su familia al pueblo. Estamos recibido como el mecia. Tomamos un curso de cosina india y comemos una cena a la altura de la magia del lugar. Disfrutamos mucho con los niños y todo esto nos prediga una muy buena boda.

Krisna, el vendedor de todo lo que quieres del bario, es un hombre viejo. Hace parte de la casta de los brahmanes, los cura indhou. Despues de haber compartido muy buenas charlas con el, una amistad especial se a creado entre nosotros. Puskar es una ciudad sagrada y la costumbre quiere que todos nuevamente llegado, tienen que presentarse a los dioses locales. Solo un brahmán puede hacer la ceremonia de la Puja (donación). Le pedimos a nuestro amigo de ser nuestro guía en este ritual y aceptando el nos da hora para la mañana siguiente quando el sol acaba de levantarse. La ciudad esta todavía tranquila cuando llegamos al lago. Krishna se sienta a nuestro lado sobre las escaleras del Ghat y abre la ceremonia. Mandamos flores y leche al lago. El incienso perfuma la atmosfera y las encantaciones en sanskrit lleva nuestra acción al alcance de los dioses. Es un momento mágico, el tiempo se ha parado y nos permite entender la importancia del lugar por los Indhous. Las palabras del hombre viejo se han ido volando llevando por la brisa encantada pero cada instante se quedaron gravados en nosotros por siempre.

Teniendo mas tiempo que previsto a pasar aquí, decidimos de ir en moto en la ciudad azul de jodhpur a unos 200 km en dirección de la frontera con Pakistan. Pasar el día allí y volver el día siguiente. Nos levantamos pronto, desayunamos bien, reserva de agua, gasolina en la moto y la aventura empesa…

Hace mucho calor en esta epoqua en esta región desertica de la india. En el Hostal, el thermometro indicaba 45º, aquí en el asfalte no quiero saber. Los litros de agua desfilaron como los kilómetros. La carretera estaba muy y los indios teniendo varias vidas, conducen como inconscientes. Cuando nos parábamos en los pueblecitos para comprar agua, los locales nos saltaban literalmente encima, aglutinándose a tu alrededor en total alucinación.

Después de 2 horas de carretera, llegamos en un pueblo. La calle principal estaba llena de actividad. Íbamos tranquilamente cuando llegamos a la altura de unas vacas en el lado de la calle. De repente, un torro super caliéntese ponen en la cabeza de follar una vaca que nos parecía por nada caliente. La vaca fría y sorprendida, cogí miedo delante del miembro en fuego y salí del lado hasta cruzar mi camino con el torro a gripado. No me recuerdo bien lo que me pase por la cabeza primero, frenar o que todo esto no podía ser real? Grave hubiera podido ser las consecuencias… La moto choco con el monstro negro quitándole todas envías por siempre gracias a la mega castración que le hemos infligido. Rachel y yo, gracias a pequeñita velocida a la cual íbamos, no hemos tenido nada. La moto tiene alguna cicatrizas de guerra pero nada grave. Cuando habíamos parado en pueblos antes había bastante gente, pero ahora estábamos en el circo. Nos ayudaron a recoger la moto, poner la en el lado y venga vamos… Y como te llamas, cuales tu nombre, estáis casado… todo las preguntas de la escuela india. Apenas habíamos recuperado de nuestras emociones fue difícil de ser sociable esta vez. Cogimos la moto y paramos mas lejos para descansar.

El camino estaba todavía largo y empezaba a hacer calor. Mas rápido llegaremos mejor será. Pero el viento se pone a soplar y la arena del desierto nos llega en plena cabeza. Cuando nos queda pocos kilómetros hasta la ciudad, de repente la rueda trasera se pone a vaciar. Páramos y por supuesto la rueda estaba rota. Tres abúrelos. En todos las pesadias hay un buen lado o bien hay de encontrarlo para guardar el moral. En 200 km de carretera, rotamos la rueda a 100 metros de un taller que en un par de gira de manos nos pone todo en orden. Pero todovia el viaje sigue y tenemos que encontrar l’hostal en el corazón de la ciudad vieja. Jodhpur es un labirinto de calesitas donde la actividad a esta hora es máxima. Slalomeamos durante una hora en un follón de animales, touctouc, moto, vendedor ambulante… esperando que el próximo cruce será el último.

Hemos llegado despues de 7 horas de trayecto muerto. No tenia que ser mas de las 4 horas de la mañana y pasaremos el resto del dia en la Terrassa del hostal a fuera de la jungla india que nunca se cansa. Disfrutamos entonces poco de la ciudad. Esta pintada de color azul para que los insectos no se acercan y tiene un palacio de maharajá en la cumbre de una montaña. Un verdadero ámbito de las mil y unas noches.

Vacunada contra las carreteras indias, Rachel cogí un bus para volver y yo solo en moto. Siendo muy atento la locura de la india te encontrar de toda manera. La vuelta mas rápida y un poquito menos peligrosa, ha confirmado otra vez que los trayecto largos en moto no son recomendado. La carretera pertenece al mas gordo y tomarla puede transformar un viage tan guapo en pesadilla.

De vuelta en Puskar, la tranquilidad vuelve y volvemos a ver con placer una pareja de franceses en el hostal. La boda empesa mañana y durara 5 dias. Cambia de escenario y vuelta a los raíces.

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